Maintenant que je suis dehors, je suis perdu. Il soupira profondément. Finalement, il a choisi de rentrer dans sa chambre.

  Bien qu’il avait hérité des souvenirs de son h?te, il a perdu un peu de temps à tourner en rond, conduisant certaines personnes à se moquer de lui bêtement.

  Les femmes de ménages étaient toujours moqueuses.

  ? Il était un peu bête, mais maintenant il semble stupide. ?

  Cependant, il en a attraper une qui fouinait derrière un vase en cachant son rire.

  ? A-Ah, jeune ma?tre ?! ? Lucian tenait ses joues en la fixant silencieusement. La femme de ménage tremblait comme si elle était une sonnerie d’alarme.

  Lucian exprimait un sourire mesquin. La femme de ménage se recroqueville en arrière en fixant son sourire ressemblant à celui d’un méchant. C’était marrant de taquiner les autres.

  Mais il n’était pas venu pour cette raison, alors après avoir donner des instructions, il l’a relaché et elle s’est enfui. Lucian espérait qu’elle reviendrait avec ce qu’il avait demandé.

  En entrant dans sa chambre, il a pu sentir une odeur de fleur. Une femme de ménage a d? entrée dans la pièce, lorsqu’il était parti.

  Qui rentrerait dans la chambre du jeune ma?tre ? Comme la chambre était dans le même désordre, elle n’est pas venue pour ranger mes affaires.

  Lucian commen?ait à soup?onner et vérifiait son bureau, mais tout était en ordre alors il se tournait vers son lit qui était aux premiers abords propres, mais en levant l’oreiller, il trouvait des punaises.

  C’est un accueil plut?t chaleureux. Lucian balaya les punaises avec son oreiller et le jeta au sol. La personne concernée devait-être sa belle-mère.

  Elle voulait tenter de tuer le concurrent de ces filles ?

  En pensant à ce doute, Lucian soupira. Il avait déshérité de la position d’héritier et des richesses qui se suivaient.

  Peut-être que c’était la raison du regard de sa belle-mère lorsqu’il quittait la salle à manger. Elle devait-être ennuyer de ma proposition.

  Lucian doutait même que son père avait prévu ce coup en avance pour le protéger. Eh bien, seul dieu conna?t la réponse.

  En déposant sa chemise, Lucian jetait un coup d’?il à la fenêtre. Il avait repéré des batiments de plusieurs étages qui faisaient monter de la fumée dans le ciel.

  Une brume recouvrait l’environnement. Les personnes marchaient normalement dans les rues en respirant ces fumées toxiques et achetaient des fournitures courantes.

  Coup de feu !

  En penchant la tête à la fenêtre, il trouva un terrain d’entrainement à la droite avec des dizaines de personnes qui tenaient un fusil dans la main.

  You might be reading a stolen copy. Visit Royal Road for the authentic version.

  Un instructeur se tenait au garde à vous, devant les nouveaux soldats. ? Aujourd’hui, votre mission est de tuer les traitres de l’empire ! Entrainez-vous à faire respecter l’ordre en tuant vos ennemis ! ?

  Le terrain d’entra?nement était vide, le sol était sableux avec des équipements éparpillés comme des abandons d’équipements. Au-delà des soldats se tenaient des épouvantails troués par de nombreuses balles en plomb.

  Feu !

  Le son était puissant et raisonnait dans toute la ville. Certains passants tournaient la tête avant de continuer leur chemin. C’était délibérément utilisé pour réprimer les pensées rebelles.

  Lucian regardait cela d’un ?il défavorable.

  Toc ! Toc !

  ? J-Jeune ma?tre ! Vos livres sont ici ! ? Elle tapota la porte tenant des livres dans ces bras avant de les déposés sur le bureau, de s’abaisser et de revenir en arrière.

  L’action a durée seulement trois secondes.

  Lucian était abasourdi. ? Les femmes de ménages sont comme ?a d’habitude ? ? Ses pensées lui indiquaient qu’elle était une personne particulière. Il nota le visage de cette personne dans un coin de son esprit.

  Il marchait vers son bureau et lisaient la couverture de ses livres.

  [L’histoire de l’Empire Gorgone]

  [Les épopées du fondateur gorgonien]

  [Les quatre royaumes et l’empire]

  Les livres avaient toutes une couverture épuré et minimaliste. Lucian prenait un livre dans ses mains et le livre dans ses mains pesaient facilement quatre kilogrammes.

  Combien de pages dans ces livres il y avait-t-il ? Le matériaux utilisé pour fabriquer ce livre ne semble pas adéquat et optimisé pour la lecture non plus. Lucian soupirait en ouvrant la première page.

  Une carte du monde était apparu représentant des nations délimités par des lignes noires. Ces territoires dispersés représentait un continent avec en empire et des royaumes.

  La situation de la politique internationale était aux premiers bords une relation d’alliance. Tous les royaumes étaient voisins. Mais une particularité était commune à tous.

  Les montagnes étaient tracées par des lignes sinueuses et resserrées, formant des crêtes hérissées comme la colonne vertébrale d’un géant endormi. Ces montagnes étaient présents au milieu du continent. Chaque sommet était marqué d’un nom étrange comme Sky Mountains ou Death Mountains.

  Dans la page gauche du livre, une description des nations étaient écrites.

  Sur les vastes plaines septentrionales, l’Empire de Gorgone détenait le plus de territoire fertile en occupant la partie supérieure du continent. C’est une nation militarisé est connu pour ses forteresses imposantes, des cités bordés par des murailles et une armée militaire forte.

  Le climat est froid repoussant quelconque intention de conquête sur ses terres.

  Autour des sommets du continent se trouvait trois royaumes alliés et indépendant qui profitaient de leur positions géographiques sur la mer et les forêts pour étendre leurs commerces à travers plusieurs territoires. Les terrains étaient favorables à l’extension des routes.

  Les royaumes détenaient une puissance militaire faible à cause du nombre de leur population mais la coalition entre les trois royaumes bati une alliance militaire suffisante pour contrebalancer toute intention de guerre de la part de l’empire.

  C’est un équilibre fondé sur la dissuasion et la paix.

  Trois royaumes et un empire ?

  Lucian était curieux car un autre livre indiquait quatre royaume. En repoussant ses doutes, il continuait de lire les pages à la suite des autres.

  Dans ce continent existait des territoires autonomes, non rattaché aux nations existantes. Ces territoires se nommèrent des ?les, l’archipel du royaume des mers et un autre royaume avec un terrain similaire aux autres à l’est du continent.

  Il existait en outre un empire et cinq royaumes.

  Lucian comprit instinctivement que les nations étaient alliés en apparence mais ennemi dans leurs intérêts personnelles. Mais en regardant la carte, il ne comprenait pas pourquoi des hachures étaient présentes autour de la montagne dans chaque nation.

  Mais bient?t il comprit en lisant un peu plus loin.

  Chaque année des pandémies de monstres se déversent de la montagne et causent des dommages irréversibles aux nations. Face à une tel décadence et à la menace, les cinq nations ont construite une organisation sous le nom de High Defenders.

  Une formation divisés en plusieurs ordres sous des individus nommées high defenders aux nombres d’une centaine, présents dans toutes les nations pour réprimés les présences des monstres omniprésentes dans les villes humaines.

  Lucian tenait sa tête de confusion.